Afin de pouvoir nous positionner en toute connaissance de cause, nous vous serions reconnaissants de bien vouloir nous faire parvenir les informations relatives à vos projets d’installation Boulevard André Citroën à Aulnay-sous-Bois :
bâtiments
surface
effectifs
nature des produits qui transiteront
capacité, poids et nombre de camions prévus par jour
etc.
Dans l’attente de vous lire, Veuillez agréer, Monsieur, nos salutations distinguées.
Afin de pouvoir nous positionner en toute connaissance de cause, nous vous serions reconnaissants de bien vouloir nous faire parvenir les informations relatives à vos projets d’installation Boulevard André Citroën à Aulnay-sous-Bois :
bâtiments
surface
effectifs
nature des produits qui transiteront
capacité, poids et nombre de camions prévus par jour
etc.
Dans l’attente de vous lire, Veuillez agréer, Madame, nos salutations distinguées.
l’usine Chimirec de Dugny classée SEVESO et qui, réimplantée à Aulnay ne sera plus classée SEVESO
« D’après l’étude d’impact, l’installation est destinée à traiter des « déchets conditionnés (acides, bases, emballages souillés, batteries, déchets inflammables, etc.) et des déchets en vrac (huiles usagées, solvants pétroliers, eaux souillées, filtres à huile usagés, déchets pâteux, etc.) », en provenance d’entreprises, d’artisans et de déchetteries.
LA CAPACITÉ DE STOCKAGE DE DÉCHETS DANGEREUX ENVISAGÉE EST DE 2 217,5 T
LA CAPACITÉ DE TRAITEMENT DE 150 T/J.
Et combien de camions de transport par jour ?
Les informations que vous n’avez pas lues sur Oxygène
L’enquête publique sera ouverte
du lundi 14 septembre au mercredi 14 octobre 2020 inclus
Pour rencontrer un membre de la commission d’enquête
Mairie d’Aulnay-sous-Bois Centre administratif Direction de l’urbanisme Mardi 15 septembre 2020 de 13h30 à 16h30 Mercredi 30 septembre 2020 de 9h00 à 12h00 Mercredi 14 octobre 2020 de 8h30 à 11h30
Donnez votre avis et demandez :
Pourquoi une usine SEVESO à Dugny ne l’est-elle plus à Aulnay ?
Le projet VAL FRANCILIA, des milliers de logements à proximité de cette usine (et sur le parc Ballanger ) est-il toujours envisagé ?
Suite à, nos propositions sur la confidentielle consultation du plan climat air énergie de Paris Terre d’envol, une de nos adhérentes effectue des propositions complémentaires que nous publions volontiers ici suite à son accord.
A la lecture de votre rapport , auquel j’adhère totalement , je me demande si l’on ne pourrait pas proposer que tous les immeubles susceptibles de remplacer les jardins ne puissent être construits que s’ils intègrent dans leurs plans au moins 20 °/° ( ou plus ) de leur surface , horizontale ou verticale , en végétalisation ? ( murs végétalisés , balcons végétalisés , toiture végétalisée ) . Ceci permettrait de regagner un peu de l’oxygène perdu .
D’autre part , est-il nécessaire , pour de stupides raisons esthétiques , de massacrer par des tontes aberrantes et anti-naturelles , comme c’est actuellement le cas , les pauvres oliviers déjà rachitiques de la place Abrioux , qui , sans développement naturel de leur ramure , vont nécessairement finir par crever d’asphyxie ? Et que penser de leurs contenants métalliques trop étriqués , brûlants en été , et glaciaux en hiver ? Est-ce là respecter le Vivant ?
Si l’on ne pouvait végétaliser le toit du parking pour des raisons de poids et d’infiltration , pourquoi ne pas avoir tout simplement replanté des arbres dignes de ce nom sur les anciens trottoirs préservés tout autour de la place ?
Cette place , ( d’ ailleurs déjà en réfection à peine terminée ) , est un non-sens : son dallage blanc la rend si brûlante que la plupart des piétons , aveuglés , l’évitent et la contournent en été …Ce manque de clairvoyance , avec le réchauffement qui s’annonce , est plus que navrant …
Un audit des riverains me semblerait bien nécessaire…
Objet : Délibération Conseil Municipal Voirie BS46 et 41P du 8 Juillet 2020
Aulnay, le 16 juillet 2020
Monsieur le Maire
Nous sommes fort surpris qu’un terrain dans la zone de Chanteloup actuellement boisé puisse devenir une station de lavage. Développer des zones de fraîcheur, des endroits de détente pour les riverains et les travailleurs est plus compatible avec les problèmes de réchauffement climatique.
Une station de lavage dans la rue Isaac Newton risque de bloquer l’accès à la fourrière et augmentera le nombre de voitures et l’utilisation d’eau.
Il faudrait étudier une zone de stationnement et de passage de la Police Municipale dans la rue Isaac Newton et la rue Joliot Curie afin de faire respecter cet endroit.
Nous restons à votre disposition pour une concertation avec les habitants sur cet aménagement.
Veuillez agréer, Monsieur le Maire, l’expression de nos sentiments respectueux et notre entier dévouement à notre ville.
Mise à jour : 06/07/2020 14:00 La demande du permis grâce à l’action commune a été refusée. Cela a été confirmé par une élue de la municipalité sur un réseau social dès la parution de cet article. La confiance n’excluant pas le contrôle, nous restons vigilants quand à la suite de ce dossier.
Un riverain de rue de la Concorde nous a alerté via notre site sur un projet de 13 appartements en pleine Zone UG et demande notre soutien à son action. Nous relayons donc ici volontiers sa pétition :
Riverains de la Rue de la Concorde
Et des Frères Aspis Monsieur le Maire
AULNAY SOUS BOIS
RECOURS GRACIEUX
PROJET de CONSTRUCTION d’un PETIT COLLECTIF de 13 APPARTEMENTS
Tout récemment, en consultant le panneau d’affichage des permis de construire au Centre Administratif ,nous avons découvert que M. Kaplan (parcelle AL88) a déposé un projet de construction d’un petit collectif de 13 appartements au 10,rue de la Concorde.
Alors nous nous opposons à un tel projet, car jusque-là nous étions dans un secteur calme.
De plus, il se trouve que lorsque nous avons acheté, dans l’acte notarié il était bien stipulé que nous nous trouvions dans un secteur historique protégé. Jusqu’à présent aucun projet de construction d’habitat collectif n’a vu le jour.
Si vous acceptiez, cela créerait un précédent. De plus, M le Maire , en début d’année, dans vos déclarations en direction de vos administrés vous avez annoncé la suppression de plus d’une centaine de permis de construire. D’autant que dans la période actuelle ce ne sont pas les projets et les réalisations d’immeubles qui manquent.
Alors, pour le bien-être de notre secteur, pour l’image de ce quartier de la ville, nous vous demandons de ne pas accorder ce permis de construire de façon à garder un caractère pavillonnaire au Vieux Pays.
Car si ce projet se réalise, c’est une brèche ouverte à tous les abus, toutes les possibilités.
Car, même si nos pavillons ne sont pas inscrits sur la liste de bâtiments remarquables, c’est tout un ensemble que vous protégeriez en annulant ce projet.
N’y a-t- il pas encore des secteurs protégés dans certains arrondissements de Paris comme le square des Peupliers dans le 13° ou la Cité florale et tant d’autres !
-Alors, si vous souhaitez préserver cette zone historique et agréable du Vieux Pays nous vous saurions gré de ne pas accepter ce projet.
Nous vous prions Monsieur le Maire d’accepter l’expression de nos sentiments respectueux.
Signataires : M.LEFREBVRE Pierre 8, rue de la Concorde
Depuis le 15 juin, le plan Climat-Air-Energie Territorial (PCAET) du Territoire dont Aulnay est la ville la plus importante est entré dans sa phase finale, sa mise à disposition au public.
Le public est invité à le consulter à cette adresse :
Certes, ces documents ne sont pas d’un abord facile. Mais en un moment où la prise de conscience des problèmes environnementaux progresse de manière spectaculaire, il serait regrettable que les citoyens, publiquement sollicités, ne s’emparent pas de l’occasion qui leur est donnée d’exprimer un avis.
Cette consultation mérite d’être soutenue par un effort d’information tout particulier. Or on en cherche vainement la trace dans le bulletin municipal d’une ville qui couvre environ 1/5e du territoire et rassemble près du quart de la population, et dont par surcroît le Maire est le président du Territoire.
Pourquoi n’existe-t-il aucune rubrique «Paris-Terres d’Envol » dans Oxygène, alors que le territoire, l’un des 12 qui composent la Région Île-de-France, a bénéficié du transfert de nombreuses compétences :
• assainissement et eau • gestion des déchets ménagers et assimilés • équipements culturels et sportifs d’intérêt territorial • politique de la ville • action sociale d’intérêt territorial • plan local d’urbanisme intercommunal
• plan climat air énergie • aménagement • développement économique • habitat (Les trois dernières compétences partagées avec la Métropole du Grand Paris)
Un exemple des plus simples de l’impact du transfert de ces compétences : le ramassage des déchets verts. Ce qui était jusqu’alors impossible, aux dires des responsables de notre commune, est devenu possible avec la mise en place de cette nouvelle structure.
Il est donc important que les citoyens s’intéressent à ce qui se passe à ce niveau de décision, et donnent leur avis lorsqu’on les sollicite. Encore faut-il qu’ils soient informés, avec un effort de pédagogie. Une pédagogie active, qui, comme dans toute formation initiale, s’appuie sur les acquis et cherche à développer l’autonomie. N’est-ce pas là l’idéal de tout bon père de famille ?
Il est temps qu’à Aulnay, la propagande cède le pas à la pédagogie.
L’avenir du site PSA se précise. Les permis de construire ont été déposés, en ce qui concerne la zone dévolue aux activités industrielles par le projet « Val Francilia ». Conformément à la réglementation, la Mission régionale d’autorité environnementale vient de rendre son avis sur l’étude d’impact d’un projet particulièrement sensible : l’implantation d’une usine CHIMIREC.(*)
« D’après l’étude d’impact, l’installation est destinée à traiter des « déchets conditionnés (acides, bases, emballages souillés, batteries, déchets inflammables, etc.) et des déchets en vrac (huiles usagées, solvants pétroliers, eaux souillées, filtres à huile usagés, déchets pâteux, etc.) », en provenance d’entreprises, d’artisans et de déchetteries. La capacité de stockage de déchets dangereux envisagée est de 2 217,5 t et la capacité de traitement de 150 t/j. »
Bien que l’Autorité Environnementale précise que ces installations futures ne sont pas visées par la « directive SEVESO » (p11), (alors que c’est le cas pour l’usine actuelle de Dugny) ce projet ne peut qu’éveiller des inquiétudes et soulever un certain nombre d’objections, dans le contexte du récent incendie de l’usine LUBRIZOL.
L’usine est actuellement implantée à Dugny. La proximité des futurs équipements olympiques, et plus précisément, la création d’un « Cluster des médias » sur ce site, impose le déplacement de l’usine, justifiée par l’autorité environnementale le 19 janvier 2019 qui relève « La non compatibilité des activités de CHIMIREC avec la proximité de logements. » (p.8). La municipalité d’Aulnay a présenté un projet qui prévoit la construction de 2000 à 3000 logements à proximité de l’usine, on est en droit de se demander pourquoi ce qui est impossible à Dugny le serait à Aulnay, « à 70 mètres de futurs logements et à 270m d’un futur groupe scolaire.» (p.7)
L’autorité environnementale reconnait qu’en cas d’incendie les installations prévues « permettent l’absence d’effets à l’extérieur du site », mais indique que l’étude d’impact ne permet pas de conclure « quant aux conséquences de ces phénomènes et aux contraintes qui en découlent en matière d’urbanisation autour de l’installation ». (p.12) La prudence n’inviterait-elle pas à éviter toute urbanisation à proximité ?
L’autorité environnementale suggère en effet que le projet d’aménagement urbain soit profondément repensé. « La démonstration de la compatibilité du projet urbain avec les installations industrielles projetées nécessitera d’être réalisée dans le cadre de la conception du projet urbain porté par la Ville d’Aulnay-sous-Bois. » (p17)
Nous pensons quant à nous, que toute construction de logements, et à fortiori sur le parc Ballanger, doit être abandonnée.
Sans parler des risques d’accident industriel, le rapport met l’accent sur les problèmes de circulation, dont nous avons indiqué lors de l’enquête publique qu’ils étaient traités avec une grande désinvolture dans le projet « Val Francilia ». Celui-ci prévoyait de piétonniser le Boulevard André Citroën, et de reporter la desserte de la zone industrielle sur un axe traversant le site PSA et desservant à la fois les habitations et les industries. Certes, une voie d’accès par le nord est prévue, mais « ses conditions de réalisation ne sont pas précisées. » (p13) « En tenant compte de l’ensemble des projets considérés (donc sans le projet urbain global), le trafic routier journalier du secteur culminera à 2 144 mouvements de voitures et 1 082 mouvements de poids lourds à horizon 2023. […]Les conditions de circulation du secteur sont dégradées en situation future.»(p14), alors que le périmètre pris en compte est limité et qu’il ne tient pas compte du trafic crée par la future zone d’habitation. Pour couronner le tout, dans l’étude de PROCIREP, « les impacts du trafic routier ne sont pas quantifiés. » (p15)
Bref, l’étude de CHIMIREC fait comme si le projet urbain Val Francilia n’existait pas, ou plus. En sait-elle davantage que l’Autorité Environnementale, qui le prend en compte pour ce qu’elle peut en savoir, c’est-à-dire dans son état présenté l’automne dernier par la municipalité ? Le Maire a promis que le bureau d’étude reverrait sa copie. Si c’est pour abandonner la construction de logements sur PSA (et accessoirement sur le Parc Ballanger), nous ne pouvons que nous en féliciter, eu égard aux nuisances importantes imposées aux potentiels habitants, en termes de bruit et de pollution, sans parler du risque industriel.
Nous pensons donc que le site PSA doit rester une zone industrielle. Faut-il en exclure les usines du type de CHIMIREC, si elles sont suffisamment loin des habitations ? « Actuellement, le site d’implantation du projet en est assez éloigné (à 500 m d’un équipement sportif et 900 m des logements les plus proches). » (p15). La décision finale devrait tenir compte de l’avis des habitants, invités à s’exprimer par une enquête publique. À noter que l’argument de la création d’emplois n’est pas pertinent, l’usine projetée ne devant employer que 180 personnes, qui vraisemblablement seront celles qui travaillent déjà sur le site de Dugny.
Nous souhaitons que l’information des habitants soit faite en toute transparence, et non comme cela a été fait pour Val Francilia, qui maquillait l’urbanisation du Parc Ballanger en faisant passer une amputation pour un agrandissement.
La transparence n’est déjà pas évidente aux yeux de l’autorité environnementale, qui pose avec insistance deux questions :
Pourquoi le projet CHIMIREC est-il associé dans un seul permis de construire, à un projet voisin de dépôt logistique, alors que les études d’impact sont distinctes ?
Surtout, pourquoi l’étude ne mentionne pas si d’autres sites ont été envisagés, et le cas échéant, les raisons qui ont conduit à écarter ces sites ?
Vous avez renouvelé aux Aulnaysiens votre promesse de leur donner « Une ville où il fait bon vivre ». Nous ne doutons pas que cette promesse est faite pour s’adresser à tous, habitants du nord comme du sud.
C’est pourquoi nous nous permettons d’attirer votre attention sur le problème auquel sont confrontés les habitants du 25-27 rue Edgar Degas : les conteneurs enterrés pour éviter les odeurs des poubelles sont inaccessibles, les vider est devenu impossible ; à cela s’ajoute tout autour l’accumulation des sacs de déchets qui ne sont pas ramassés.
Il semble que les diverses entités concernées par le problème se renvoient le soin de le régler. Nous pensons que la salubrité publique est mise en cause, un soin qui relève du pouvoir du Maire. Nous vous serions reconnaissants d’user de votre pouvoir pour mettre rapidement un terme à cette situation, comme à celle d’autres points de notre ville affectés par des problèmes analogues.
Aulnay Environnement, reçoit aujourd’hui le message suivant, relayant un premier message sur notre compte :
« Je me demandais comment on peut intervenir pour faire stopper l’abattage des chênes inscrits (3 aujourd’hui en plein confinement au 39 avenue des Pavillons-sous-Bois. (…) Et à défaut de stopper, s’il est déjà trop tard, poursuivre pour faire condamner, pour dissuader les suivants… »
Toute action en ce sens ne pouvant se faire autrement qu’avec le concours de la Municipalité, Aulnay Environnement, le 3 avril 2018, a écrit au Maire pour lui demander
« la création d’une commission mixte associant élus, services techniques, Maison de l’Environnement, associations et représentants des habitants pour suivre l’évolution de l’état de santé des arbres et sensibiliser les acquéreurs de parcelles arborées à la préservation du patrimoine précieux que représentent ces végétaux souvent derniers rescapés de l’historique forêt de Bondy.
Cette commission devrait avoir pour première mission d’élaborer une Charte de l’arbre comme il en existe dans d’autres communes proches, intégrée au PLU. »
Cette lettre est restée sans réponse, de même que la relance du 26 juillet 2018.
Au printemps 2019, la municipalité lance un appel à candidature pour la rédaction d’un « Charte de l’Arbre ». À la première réunion, si l’on exclut les représentants de la municipalité, il n’y a qu’une demi-douzaine de simples citoyens, preuve de l’intérêt que portent les Aulnaysiens au problème. Il faut dire que cette réunion a été convoquée en pleine période de grève, à une heure où tous ceux qui n’étaient pas retraités étaient coincés dans les embouteillages et les transports en commun.
Dès l’introduction, il est clair que le but premier de la réunion est de sensibiliser les Aulnaysiens à la nécessité d’abattre les arbres malades.
Nous posons au représentant de la municipalité, M. Cannarozzo, nos conditions pour une participation :
Un engagement que ce groupe de travail préludera à la mise en place d’une commission bénéficiant d’une longévité et de compétences lui permettant de participer dans le long terme à la gestion du patrimoine arboré et que sa vocation ne se bornera pas à participer à la rédaction d’un texte sans portée réelle.
Le projet d’un examen approfondi de l’état des lieux
La précisionsur le périmètre pris en compte : il doit ainsi englober non seulement le domaine public, mais aussi le domaine privé.
La promesse d’une réelle protection du patrimoine : Il importe donc que soit admis dès le départ que cette charte de l’arbre impose des contraintes dans les permis de construire.
Sur tout cela, M. Cannarozzo refuse de s’engager, et nous laisse toute liberté de rédiger ce qui nous plait. Nous avons déjà vu ce procédé à l’œuvre dans le Conseil économique social et Environnemental, qui n’était qu’un simulacre, les participants étant invités à travailler sans lien concret avec l’action municipale. Compte tenu de ce refus de tout engagement, et de l’axe prioritaire proposé à la réflexion, nous avons quitté la réunion.
Deux éléments confirment le peu de sincérité de la municipalité dans cette entreprise : l’absence de la « Charte de l’Arbre » dans les documents électoraux présentant les grands projets de l’équipe Beschizza, l’absence de réponse à notre lettre du 5 février dernier demandant une protection pour les chênes du terrain de l’ex-centre Le Camus.
La (trop) petite équipe d’Aulnay Environnement a fait tout son possible pour sensibiliser les Aulnaysiens à l’intensification du bétonnage prévisible durant cette nouvelle mandature. En vain.
Comment espérer qu’une équipe amie des promoteurs puisse à présent mettre en place des procédures qui les gêneraient pour éradiquer toute végétation, même centenaire, d’un terrain constructible ?