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Rue Jules Princet : les piétons et les cyclistes attendront…

RD115 AULNAY

La nouvelle construction de la rue Jules Princet a de quoi surprendre : une construction en limite de propriété sans recul qui ne laisse de peu de place pour les piétons

Mais que deviennent les cyclistes :

Suite à la rénovation lourde de la chaussée, la loi LOM entrée en vigueur en 2020, la loi d’orientation des mobilités (LOM) a pour but de faire de la transition écologique du transport une affaire des collectivités


Bien connue des associations et plus précise, la loi LAURE a posé les fondements des politiques de déplacement en faveur du vélo (et des modes doux en général). Son objectif : « respirer un air qui ne nuise pas à la santé ».

la santé ».

Son article le plus connu a été codifié dans le Code de l’environnement :Version en vigueur du 21 septembre 2000 au 27 décembre 2019 de l’article L228-2  :

« A l’occasion des réalisations ou des rénovations des voies urbaines, à l’exception des autoroutes et voies rapides, doivent être mis au point des itinéraires cyclables pourvus d’aménagements sous forme de pistes, marquages au sol ou couloirs indépendants, en fonction des besoins et contraintes de la circulation. L’aménagement de ces itinéraires cyclables doit tenir compte des orientations du plan de déplacements urbains, lorsqu’il existe. »

Respectant donc la loi, le département (Remarque : la rue Jules Princet est une départementale (RD115)) a établi un projet de pistes cyclables de part et d’autre de la chaussée en amont de la réalisation du projet en aout 2020

Extrait projet département

Les travaux sont terminés depuis un an et depuis chaque accès à la rue Jules Princet montre un panneau « absence de signalisation » et la voiture a repris ses droits ! (À quel titre ?)  cote impair du stationnement

Il semble d’usage que le département consulte la ville quant à des évolutions de voirie. Cote département cela semble avoir été fait.

Cote ville, c’est plus flou : interpellés à ce sujet lors du conseil de quartier Mairie Vieux pays de novembre 2022, 2 élus présents (MM. Cannarozzo et Cahenzli) ont indiqués avoir répondu au département. Ils se sont bien gardé d’indiquer au public la réponse donnée !

Depuis, le dossier n’avance pas. Il est fort probable que l’avis de la mairie ait été négatif, sinon le marquage au sol aurait été fait

En effet, supprimer du stationnement au profit du vélo n’est pas dans l’optique de la municipalité bien que, dans le dernier OXYGENE d’avril 2023, page 18 on peut lire :

la ville encourage la pratique de la bicyclette

Ouf !!

Un citoyen cycliste

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FERME GARCELON : LA COMMUNICATION VS LA DÉMOCRATIE

Cette semaine, grand bonheur dans nos boîtes aux lettres : une information sur la ferme Garcelon ! Avec un plan ! Cela fait au moins un an qu’on l’attend, et qu’on nous répond : « le projet n’est pas encore ficelé, on ne peut rien vous dire ». Il faut bien sûr comprendre le sous-entendu « … ni surtout vous demander votre avis ! », C’est bien pourquoi il faut attendre que tout soit bien « ficelé » par les grands professionnels qui savent absolument tout mieux que l’habitant.

Dès l’intro, on comprend à quel genre de document on est confronté, lorsqu’on lit que nous avons une municipalité qui sait s’opposer « aux promoteurs peu respectueux de notre patrimoine » (de qui se moque-t-on ?), sans doute comme celui qui a fait s’écrouler la maison juste en face, la vénérable « maison Utrillo » cédée par la même municipalité. (La ferme Garcelon est-elle plus solide ?)

En tous cas, professionnelle, cette communication ne l’est vraiment pas, sauf si la compétence s’arrête aux seules exigences de la propagande.

  • Remplissage : répétition du même paragraphe, de la page 1 à la page 2 (« À terme …. L’environnement.)
  • Des salles de cours (au pluriel) page 1,  devenues une salle unique page 2 et sur le plan
  • Une description de 4 constructions sans que l’on puisse correctement les identifier sur le plan, en l’absence de report de cette numérotation, avec des indications en rouge illisibles.
  • La référence à des matériaux de construction qui aurait été bien plus éloquente avec des vues d’architecte qui doivent exister, mais qu’on ne verra pas : une carte postale ancienne et un couple de biquettes, c’est mieux !
  • Aucune information sur la superficie de la mairie annexe et des nouvelles salles.

Bref, de la communication, pas de l’information. Du travail d’amateur, si l’on est bienveillant, et avec un peu d’esprit critique, de l’enfumage pur et simple. Rien à voir avec une véritable information motivée par un souci démocratique.

En effet, cette communication passe au-dessus de ces institutions fondamentales en démocratie qu’on appelle les « corps intermédiaires » : les Conseils de Quartier et les associations, qui les uns et les autres peuvent mener une réflexion et se documenter collectivement. C’est qu’il ne faut s’adresser qu’à des citoyens isolés et inorganisés, SURTOUT PAS EN RÉUNION, CAR ON RISQUE DE SE VOIR EXPOSÉ À DES QUESTIONS GÊNANTES, ET À D’INTOLÉRABLES CONTRE-PROPOSITIONS.

Par exemple, si l’on se demande quelles sont les superficies des bâtiments, que constate-t-on en se reportant au cadastre ?

Nouvelle mairie annexe : environ 120m2Ancienne mairie annexe : environ 150 m2
Salle de cours : environ 50m2 (une grande salle à manger) Salle polyvalente : environ 120m2 (une grande salle de classe) (mesures évidemment approximatives, dont on attend un démenti sur plan.)   Salle de danse 132m2On aimerait connaître la surface des salles de l’espace Averino, promises à la destruction. Il semble évident que la surface et le nombre de ces nouveaux locaux sont nettement inférieurs, et qu’on peut d’avance réfuter la prétention qu’ils puissent jamais les remplacer.

QUAND CESSERA-T-ON À AULNAY D’ENFUMER LES CITOYENS ?

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HEUREUX LIVRYENS !

Les habitants de Livry-Gargan ont bien de la chance ! Ils peuvent s’exprimer démocratiquement avec une certaine force en dehors des élections municipales. Ils peuvent faire entendre dans la presse (Le Parisien du 18 janvier) qu’ils ne sont pas d’accord avec la conception de la démocratie représentative promue par la municipalité. Comment ? En démissionnant, tout simplement ! Et en créant un Observatoire de la Démocratie Participative.

En revanche, Pierre-Yves Martin, le Maire, n’a vraiment pas de chance ! Il a déjà été bien bon de maintenir une instance démocratique qui n’était pas obligatoire dans une ville de moins de 80 000 habitants et de lui laisser « trois missions principales : remonter des doléances des habitants ou toutes informations pouvant impacter la vie du quartier ou de la ville ; proposer des projets au profit du collectif, ayant un impact sur le quartier ou la ville ; participer et inciter les habitants des quartiers à participer aux animations proposées par la ville ». Mais cela ne suffit pas à ces conseillers qui s’insurgent d’avoir été totalement ignorés dans la refonte totale du stationnement dans la ville. Quelle ingratitude !

Il faut cependant reconnaître que Pierre-Yves Martin n’a qu’à s’en prendre à lui-même. Il aurait dû venir prendre  conseil auprès d’un expert en démocratie représentative, son voisin d’Aulnay-sous-bois, Bruno Beschizza. Lui au moins, sait s’y prendre et « tenir sa ville » ! La première précaution consiste à faire en sorte que les conseillers de quartier ne puissent en aucun cas se concerter, puisque leur liste n‘est pas connue, y compris des conseillers eux-mêmes !  Il suffit d’invoquer la loi « Informatique et Liberté », de façon évidemment totalement abusive, puisque rien n’interdit aux membres d’une assemblée de connaitre la liste et les adresses des autres membres. Peu importe, les Aulnaysiens n’y voient que du feu, à part quelques grincheux rassemblés sous la bannière d’une association infréquentable nommée Aulnay Environnement, infréquentable malgré sa grosse centaine d’adhérents (rappelons que sur 87 000 habitants, à peine 200 ont participé au Grand Débat).  Et pas question de leur confier les missions citées plus haut : leur rôle, c’est juste de se rendre à une sorte de conférence de presse pour exprimer des doléances, souvent limitées à leur pas de porte, et de recevoir toujours les mêmes réponses dilatoires.  

Et si jamais, comme dans la réunion plénière du quartier « Vieux Pays », l’assemblée est trop houleuse, révoltée par un énième projet immobilier, et que l’élu responsable de la prétendue « démocratie participative » est contraint d’accepter la désignation de plusieurs rapporteurs et secrétaires, il suffit ensuite de rayer les surnuméraires d’un trait de plume pour ne conserver que les deux personnes les mieux dévouées au bien public, puisqu’elles tractent pour la Mairie. Un bon argument : disqualifier ceux qui ne font pas partie du quartier, même si le règlement ne l’interdit pas (la carte précise, rue par rue, est évidemment absente du site de la ville). Sous la « démocratie », l’arbitraire !

Mais le mieux est encore de décourager totalement les habitants de participer aux conseils de quartiers EN FAISANT TOUT POUR QU’IL N’EN SORTE RIEN.

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COMMENT FAIRE DES CONSEILS DE QUARTIER UN LIEU DE DÉMOCRATIE

La municipalité a imposé aux Conseils de quartier un fonctionnement magistral. Or une vraie démocratie locale ne peut reposer  que  sur un fonctionnement collaboratif.

Un fonctionnement magistral :

  • Tels des professeurs, les élus, en nombre pléthorique comme s’il s’agissait d’un jury d’examen, sont assis derrière leur table-bureau, face à un public installé comme dans une salle de classe, une disposition conçue précisément pour rendre malaisé le bavardage avec ceux qui sont derrière.  

Le magistère de la parole est détenu par les élus et les spécialistes qu’ils ont convoqués. Le public ne s’exprime que s’il y est invité, essentiellement pour des questions posées aux détenteurs du savoir.

Un fonctionnement collaboratif :

  • Les participants sont face à face, en petit groupe pour faciliter la prise de parole puis en grand groupe pour la mise en commun.
  • Le rapporteur et les élus font circuler la parole et organisent le débat. Leur souci essentiel est de faire parler les participants, d’écouter, et de répondre éventuellement aux questions. L’essentiel du temps est consacré au ressenti et aux propositions des habitants, fondés sur leur expertise d’usage, pas à de longs exposés techniques des détenteurs du pouvoir.

Un tel fonctionnement (dans lequel on aura reconnu la pratique habituelle de bien des assemblées) permet aux élus de mieux connaître les attentes des administrés pour ensuite faire la maximum pour concilier ces attentes avec les contraintes matérielles. Même si toutes leurs attentes ne sont pas satisfaites les administrés ont le sentiment d’être pris en compte et respectés.  Le but ultime étant que les gens se parlent entre eux et cherchent à dépasser leurs oppositions, collaborent au lieu de s’affronter.

POUR LES PROCHAINS CONSEILS, IL FAUT EXIGER :

  • ce  mode de fonctionnement collaboratif, parfaitement dans la ligne du règlement voté par l’équipe Beschizza en 2014
  • la mise en place de petits groupes de travail une fois l’élection des conseillers et du bureau effectuée
  • une thématique et un calendrier à l’issue de la mise en commun des échanges par petit groupes
  • un compte-rendu mis à la disposition de tous les habitants

AULNAYSIENS, UN PETIT EFFORT, ET NOUS SERONS EN DÉMOCRATIE !

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Investissons les conseils de quartier

La municipalité a décidé de renouveler les conseils de quartier : c’est son droit, la loi qui lui impose de les réunir lui laisse toute latitude quant à leur organisation. La seule contrainte, c’est le règlement voté au début de la précédente mandature Beschizza, jamais publiée, mais consultable sur le site d’Aulnay Environnement. On y voit que le Conseil de Quartier est un lieu d’échanges entre riverains pour élaborer des propositions afin d’améliorer le cadre de vie. Or les élus ignorent superbement le texte que leur groupe a voté. Ils ont transformé le Conseil en réunion-conférence de presse, avec le seul jeu des questions-réponses, des réponses toujours évasives sur les projets et catégoriques sur le refus d’une vraie concertation. Et pas question de faire un compte-rendu ! Le résultat : les Aulnaysiens se détournent des conseils de quartier, qu’ils ne perçoivent que comme un débit de propagande municipale, OÙ L’ON NE NOUS PARLE JAMAIS DE L’URBANISME !

Or de grands projets de construction et de vente du patrimoine municipal sont dans les cartons, ou déjà en œuvre, autant de catastrophes qui se préparent pour notre qualité de vie. Les habitants doivent pouvoir s’exprimer et faire des propositions pour pallier le manque total de réflexion sur les conséquences d’une urbanisation débridée : par exemple, quelles idées pour l’amélioration des « circulations douces » dans les quartiers, vélos et piétons, comment concilier projets immobiliers et préservation des arbres remarquables ? L’expertise des habitants doit contrebalancer l’aveuglement des professionnels rétribués par les entreprises ! Il faudrait pour cela qu’ils puissent contacter les conseillers. Or la liste reste secrète !

EXIGEONS

  •  L’APPLICATION DU RÈGLEMENT ET LE FONCTIONNEMENT DU CONSEIL COMME FORCE DE PROPOSITION, les conseillers dialoguant avec les habitants dans le respect de toutes les opinions
  • UN ORDRE DU JOUR DÉCIDÉ PAR LE CONSEIL ET NON IMPOSÉ, portant sur les sujets concernant le quartier et demandés depuis des années, comme l’urbanisme, et donc le rejet de sujets décidés par la seule municipalité, comme cette fois « la santé » (nous savons suffisamment que le mot d’ordre à Aulnay est de s’en remettre aux entreprises privées, dans ce cas l’Hôpital de l’Est Parisien du groupe Ramsay à capitaux principalement australiens : une enquête de satisfaction indépendante mériterait d’être conduite, en y ajoutant le service de nettoyage et la piscine la plus chère du voisinage.)
  • UN CALENDRIER DE RÉUNIONS RÉGULIÈRES FIXÉ PAR LE CONSEIL LUI-MÊME
  • LA COMMUNICATION D’UN COMPTE RENDU APPROUVÉ À LA RÉUNION SUIVANTE

QUE LA DÉMOCRATIE DE PROXIMITÉ NE SOIT PLUS À AULNAYUNE EXPRESSION VIDE DE SENS ! Cela dépend des citoyens.

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Vademecum du parfait Aulnaysien Pour le projet Val Francilia

NE RIEN VOIR

Jamais on ne lui montrera que le projet prévoit de construire sur 5 hectares du parc Ballanger.
Oxygène n’en dit rien, et ne montrera jamais ce plan de la société Richez, visible sur son site !

NE RIEN DIRE 

tous ceux qui expriment leur opposition à ce projet sont dénoncés

comme propagateurs de fake news et couverts d’invectives !

NE RIEN ENTENDRE

 à l’exemple de la mairie, rester sourd à toute solution alternative.

Car la « concertation » engagée est une mascarade :

Exemple de ce qu’on peut obtenir : la mise en place d’un terrain de pétanque sur le site.

UNE VRAIE CONCERTATION COMMENCE PAR L’ASSOCIATION DES HABITANTS

À LA DÉFINITION DU CAHIER DES CHARGES.

Or ce document, la mairie  refuse même de le communiquer ! Pour elle,

la destruction et la privatisation de 5 hectares du parc ne sont pas négociables !

Nous ne pouvons laisser détruire un patrimoine cher aux Aulnaysiens !

Venez en débattre avec Aulnay Environnement

Mardi 28 mai 2019 de 19h15 à 22h15

salle du Hameau 2 rue des érables

(Près de la Mairie annexe Ambourget)

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Lettre au Maire Parc Modigliani

M. Bruno Beschizza
Maire d’Aulnay-sous-bois
Aulnay, le 15 avril 2019

Monsieur le Maire,

Nous voudrions vous faire part de notre extrême inquiétude à la suite de la publication sur des blogs d’un projet de vente à la découpe du parc Modigliani.

Nous avons eu d’abord du mal à imaginer qu’une municipalité qui a promis de lutter contre le bétonnage puisse approuver la disparition d’un espace vert de plus de 2000m2, au cœur d’un ilot déjà densément construit. C’est un petit parc qui s’intègre dans un réseau de circulations douces permettant aux enfants et à leurs parents de jouir d’un cheminement agréable vers l’école des Petits Ormes, et qui par surcroît, figure au plan de protection du patrimoine.

Nous ne pouvions retenir qu’une hypothèse : que le document rendu public n’est que la proposition d’un promoteur ayant conçu un projet sans l’assentiment de la Mairie. C’est un cas qui s’est déjà présenté lors de la précédente mandature : le dépôt d’un dossier proposant de construire un immeuble sur le legs Pecoroni, et qui n’avait rien d’officiel.

Mais non ! La divulgation d’un courrier envoyé par vos services confirme qu’il s’agit bien d’un projet de la municipalité !

Nous ne pouvons qu’exprimer notre plus vive indignation devant une initiative  portant une telle atteinte au paysage et à l’agrément de notre commune ! La recherche tous azimuts de rentrées de fonds ne peut pas aller jusque là ! 

Avec nos salutations distinguées.

Pour le bureau d’Aulnay Environnement,
Le Président, R-A Bougourd

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Café Jaudou, lettre au Maire

M. Bruno Beschizza

maire d’Aulnay–sous-bois

Aulnay, le 09 Octobre 2018

Monsieur le Maire,

Nous apprenons par nos amis du CAHRA la mise en vente du café Jaudou, 105 Route de Bondy.

Comme vous ne l’ignorez pas, ce café figure comme élément patrimonial au nouveau PLU de notre ville.

« Intérêt architectural : Belle devanture de café en bois avec marquise métallique finement ouvragée. Intérêt historique : Un des derniers témoins des cafés-commerce de l’entre-deux guerre, époque d’important développement de la ville » (Fiche PLU n°17, annexe au règlement p 48)

Nous espérons qu’une procédure de préemption sera rapidement décidée pour préserver au bénéfice des habitants cette construction, dans un quartier qui manque de repères mémoriels. Cela nous semble correspondre parfaitement à la volonté affichée de la municipalité de préserver le patrimoine.

Dans l’espoir que ce souci patrimonial reste un trait d’union entre les habitants, les associations et l’équipe municipale, veuillez recevoir, Monsieur le Maire, nos meilleures salutations.

Pour le bureau, le secrétaire général d’Aulnay Environnement

Robert Halifax

Original du courrier à télécharger ici

 

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AULNAY ENVIRONNEMENT ET LES AGISSEMENTS DU CHARGÉ DE COMMUNICATION DE LA MAIRIE D’AULNAY-SOUS-BOIS

Aulnay, le 13 juillet 2018

 Le chargé de communication de la Mairie a encore frappé, sur son site 93600Infos.  Il est clair qu’il se sent investi d’une mission : saisir toutes les occasions de discréditer Aulnay Environnement en se lançant dans la production de fausses informations.

La recette pour fabriquer une fausse information est simple : il suffit de piocher dans notre site et d’extrapoler sans retenue

  1. commencer par une citation assez anodine de la contribution d’Aulnay Environnement à la réflexion sur le centre ville pour donner l’impression  que l’on cite ses sources avec objectivité
  2. En bas du compte-rendu d’une réunion avec le directeur des Services Techniques, utiliser un lien vers une carte qui présente les propositions d’un membre de l’association et faire de cette initiative personnelle la position officielle de l’association
  3. transformer la proposition d’un « va tout droit » pour les cyclistes en proposition de suppression de places de parking, et donner un chiffrage qui n’apparaît dans aucun document.

Et voilà comment l’on peut titrer :

L’association Aulnay Environnement propose de supprimer des places de stationnement avenue Dumont

Pour une personne de bonne foi, seul compte évidemment le texte concernant la réflexion sur la circulation dans le « centre gare », approuvé par le bureau. On y constatera que l’association ne porte que des avis généraux, sans critiquer sur le fond la démarche  municipale sur la circulation. Concernant le stationnement « Nous ne pensons pas qu’il faille multiplier les parkings et s’engager dans la course sans fin du plus de parking et toujours plus de voitures. »  Il n’est en aucun cas question de supprimer des places, mais de maintenir l’existant.

Aulnay Environnement souhaite que le Maire puisse reprendre avec l’association un échange fructueux entre les deux parties.